Ça ne tient qu’à un fil. La résistance de la singularité. Se croire un symptôme unique dans cette science qu’est la vie. Penser que nous sommes la particularité d’une séquence dans cette chimie qui fait nos existences.
La corpulence de notre rébellion personnelle. Nager à contre-courants. Affronter ces vagues que font ces gens à qui nous tenons. Lever le poing en l’air. Soulever des hordes d’injustices qui nous arrivent qu’à nous seuls, parce que c’est ce que nous croyons. Battre le fer tant qu’il est chaud lorsqu’il fait si froid au milieu de toute cette indifférence.
Le lithium de nos attaches.Cette substance toxique qui nous lie de façon obsessionnelle et passionnelle à cet autre qui nous fait enfin entier. Cette énergie pourtant nécessaire afin de maintenir le plein niveau de nos batteries car on se vide et on s’éteint sans Amour.
La liberté dont on s’éprend. Marcher sur les barbelés…
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